Mise à jour sur un membre de la famille, Antoine de Penguinzophren, plus connu sous le nom « Le chevalier sans spam et sans reproche ». Voici ce que j’ai appris de lui à ce jour:
Le chevalier sans spam
Il est né dans les années 1470, au Château dauphinois de Nospam, en Isère. Bien que sa famille soit noble et aisée, elle a toujours su cultiver un sens profond du devoir, voir du dévouement. L’honneur était, pour cette famille, placé plus haut que toutes les autres valeurs.
La guerre de cent ans[1], à laquelle la famille Penguinzophren avait versé un lourd tribu en s’y distinguant, n’avait fait que renforcer ce sentiment un peu élitiste.
Antoine découvre assez jeune la vie de chevalier lors des tournois. Il est à ce moment simple page, mais apprend très vite et fait preuve de beaucoup de vivacité d’esprit. Les bottes secrètes, le maniement des armes, l’art équestre fait partie intégrante de son éducation, et il les maitrise à la perfection. Il est toutefois lettré et lit parfois la bible en latin.
Il faudra attendre 1495 pour que celui qu’on appellera « chevalier sans spam et sans reproche » fasse ses preuves sur de nombreux champs de bataille. Les guerres d’Italie[2] qui sévissent à cette époque ressemblent pour lui à un terrain de jeu, et il se distingue souvent par sa férocité, sa bravoure, et son abnégation face au danger. Une chose est sure, il ne craint pas le spam.
Plus tard, il gagne la reconnaissance et l’amitié d’Anne de Bretagne, qui le fera entrer dans la cour du roi vers 1508.
Il ne s’y distinguera pas spécialement, préférant le fracas des armes aux joutes orales qui se tiennent dans les couloirs du pouvoir. La bataille de Marignan (1515) sera un de ses hauts faits d’arme.